Une journée (et une nuit) coincée entre une platine vinyle, un burger oublié, et des acouphènes dans les oreilles. Ce visuel, c’est un peu comme si un samedi soir avait décidé de ne jamais finir.
On s’est inspiré·e·s de cette douce mélancolie des années 80, quand les soirées n’étaient pas que des pistes de danse, mais des refuges pour toutes les âmes un peu cabossées. Des bulles de liberté où chacun pouvait briller, transpirer, aimer, s’exprimer, sans jugement ni étiquette, sauf peut-être celle collée sur un vinyle « LOVE ».
Tout semble figé dans l’instant – un entre-deux étrange, entre apéro et after, entre premier verre et dernier slow. C’est un joyeux bazar organisé, où chaque détail raconte un morceau de fête.
On voulait une affiche qui transpire la fin de soirée : l’air chargé, les enceintes qui saturent un peu, et cette sensation de chaleur qui colle à la peau. Une image qui vibre doucement, comme un vieux vinyle qui craque encore un peu, même quand la fête est finie.
À regarder comme on repense à une bonne soirée : un peu flou, un peu doux, et toujours avec l’envie d’y retourner, rien que pour un dernier morceau.